Comment CAPZA collabore avec ses participations pour mener une stratégie de croissance externe ?

Maxence Radix, Directeur Général chez CAPZA : « Il est essentiel pour nous que CAPZA et l’entreprise s’accordent sur le cahier des charges de la croissance externe : la stratégie et l’objectif recherché, le profil des sociétés cibles (taille, profitabilité, secteur, géographie, etc.), le budget et le calendrier. Ce cahier des charges peut même être discuté en amont d’une opération de LBO et faire partie des critères de l’entreprise dans le choix du fonds. Il permet d’éviter de se disperser, et d’avoir un discours clair auprès des conseils en M&A, des vendeurs et des équipes internes.

Le travail de sourcing et de mapping des cibles est également crucial : suivant le degré de maturité de l’entreprise sur ce type d’opération celui-ci peut être effectué par CAPZA, par l’entreprise, ou par des conseils externes spécialisés. Nos participations peuvent également capitaliser sur le réseau de CAPZA pour se faire connaître auprès des intermédiaires, notamment dans les géographies qu’elle ne couvre pas. Avec des bureaux en Allemagne, Espagne, Italie et aux Pays-Bas, CAPZA a une très bonne connaissance de ces géographies et de l’écosystème local des PME/ETI.
A titre d’exemple, pour une opération dans l’éducation, CAPZA a identifié plus de 260 acteurs en vue d’un développement en Europe, en a qualifié 80 et a identifié une vingtaine de cibles potentiellement éligibles.
CAPZA est également en mesure du fournir une boîte à outils à l’entreprise, avec des modèles de lettres d’intention, des éléments marketing, des principes de gouvernance, etc. »

Comment assurer une bonne intégration des cibles ?

Maxence Radix, Directeur Général de CAPZA : « La réussite d’une opération de build-up ne se juge pas seulement au moment où on la signe, mais aussi à la façon dont les cibles s’intègrent dans le groupe. C’est souvent une étape complexe et longue, car elle nécessite des changements au niveau de l’organisation, la culture, les équipes et les opérations.

Une intégration réussie passe avant tout par une bonne compréhension de l’ADN de la société cible, la capacité à fusionner les deux cultures d’entreprise, et identifier les bonnes pratiques et les talents à promouvoir au sein du groupe.

Il est important également de comprendre le fonctionnement opérationnel de la cible, notamment à l’étranger (contraintes administratives, juridiques et sociales) pour ne pas répliquer un modèle qui ne fonctionnerait pas.

Enfin, l’intégration des managers et de certains collaborateurs clés, via des plans d’incentive ou une intégration au capital permettra d’aligner les intérêts pour un succès collectif.
Dans ce contexte d’intégration, CAPZA joue généralement un rôle de conseil, de mise en relation et de diffusion des bonnes pratiques, et restera plus éloigné des problématiques opérationnelles.”